Il n’a pas l’air d’un délinquant, il a 39 ans et il est cadre supérieur.
Pourtant l’homme n’est pas tout blanc. Le juge lui demande pourquoi on a retrouvé son ADN sur la fillette de son ami. L’homme n’explique pas ces traces ADN. Il explique cependant s’être relevé la nuit car il avait cru entendre son fils parler. Dans le même temps, il explique qu’il a remis l’enfant dans son duvet et annonce que jamais il n’a eu de mauvais gestes envers la petite fille. Les parents de la fillette font face, et malgré leur séparation qui s’est faite avant les actes malsains de leur ami, ils restent soudés dans cette salle du Palais de Justice de Saint-Etienne. La jeune fille a pu s’exprimer et raconter ce qu’elle a vécu. Le poids de la parole de l’enfant a joué. De plus, l’homme de 39 ans a déjà été condamné à Lausanne (en Suisse) pour pédopornographie via des vidéos sur son ordinateur.
Il vient d’être condamné à un an de prison.