Cet arrêté avait été pris fin décembre par le gouvernement.
La filière française était alors en danger, notamment dans la Loire.
En France, on compte plus de 1.500 boutiques de CBD
Le juge des référés estime désormais que le taux de THC, principale molécule active du cannabis, contenu dans les fleurs et les feuilles du CBD n’est pas très élevé et qu’il ne représente pas un danger suffisant sur la santé pour justifier une interdiction générale.
Le conseil d’Etat suspend provisoirement l’arrêté pris par le gouvernement
Cette décision va dans le sens du Conseil constitutionnel qui avait précisé, début janvier, que le CBD, y compris la fleur, n’entrent pas dans les critères de définition d’un produit stupéfiant.