
Une étude publiée dans la Royal Society Open Science estime que 99,9% des grosses gouttelettes sont retenus par le masque lorsque l’on parle ou que l’on tousse.
Les grosses gouttelettes respiratoires de type postillons – qui agissent comme des projectiles avant d’être attirées vers le sol par gravité – seraient le principal moteur de la transmission du SRAS-CoV-2, note l’auteur principal de l’étude.
Les 0,1% restants peuvent rester en suspension dans l’air pendant de longues périodes et représentent un risque dans des lieux mal aérés.
Quant à l’efficacité des masques en tissus, ils formerait aussi une barrière l’expiration des fines gouttelettes et particules, souvent désignées comme aérosols.