jeudi 3 décembre, J.K. Rowling fait de nouveau parler d’elle. Ce n’est pas, comme au cours des derniers mois, pour ses propos stigmatisants à l’égard des personnes trans, mais pour la sortie de son nouveau roman jeunesse très attendu, L’Ickabog.
D’abord mis en ligne au printemps dernier, le nouveau récit fantastique de la romancière britannique, qu’elle a écrit par intermittence en parallèle de la saga littéraire Harry Potter, paraît en français aux éditions Gallimard.
Il n’aurait peut-être jamais vu le jour si la pandémie de Covid-19 n’avait pas poussée son autrice à remettre le nez dans ses manuscrits. “Du grenier est redescendue la boîte très poussiéreuse de pages tapées à l’ordinateur ou écrites à la main, et je me suis attelée au travail, raconte J.K. Rowling en introduction. Mes enfants, désormais adolescents, qui avaient été le tout premier auditoire, en ont écouté un chapitre chaque soir jusqu’à ce que j’aie presque terminé.”
Loin du monde magique des sorciers de Poudlard, elle narre, au gré d’un conte de 340 pages, un récit imaginaire parsemé de métaphores politiques. Le HuffPost l’a lu et vous raconte dans les quatre points qui suivent ce que vous réserve L’Ickabog.
- L’intrigue
L’histoire se déroule au cœur d’un petit royaume du nom de Cornucopia. Là-bas, tout le monde est heureux et vit en paix. On y mange bien. On n’y manque de rien. Et ce, en partie grâce à son roi, un certain Fred Sans Effroi que tous les sujets admirent.
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