Marc Petit est accusé d’agression sexuelle.
Les faits se seraient déroulés en Turquie, à Istanbul en juillet 2016.
Le pays vit une tentative de coup d’état et les délégations du Puy de Dôme et de Firminy sont venues défendre des dossiers pour que les sites du Corbusier et des Volcans d’Auvergne soient considérés comme patrimoine mondial de l’Unesco.
La plaignante aurait déclaré que le maire de Firminy l’aurait coincée dans un couloir d’un hôtel et lui aurait touché la poitrine. Sur place pas de témoins mais cette femme aurait été vue déconcertée par une équipe de télévision.
Le maire de Firminy, Marc Petit, 50 ans, a été mis en examen mercredi 5 décembre 2017.
La plaignante est une femme d’une quarantaine d’années, qui travaille au service communication pour le département du Puy de Dôme. Elle est mariée et mère de famille et aurait une vie tranquille sans histoire.
Marc Petit a démenti et se dit « dévasté ». Il a déposé plainte pour dénonciation calomnieuse. Que va-t-il se passer après cette garde à vue ? Soit l’abandon des poursuites, soit une mise en examen pour « agression sexuelle ». Dans ce dernier cas, un juge d’instruction serait nommé. L’enquête suivrait son cours pour arriver à un procès ou un blanchiment.
Il est à noter qu’une mise en examen n’est en rien une preuve de culpabilité et n’enlève en rien à la présomption d’innocence.