
A l’issue du Conseil de défense, Gabriel Attal, le porte-parole du Gouvernement a annoncé l‘allégement des mesures en reprenant notamment les annonces d’Emmanuel Macron du 31 mars. 42info.fr vous présente le calendrier détaillé du confinement et du couvre-feu.
La conférence de presse en totalité
EN DIRECT | Compte rendu du Conseil des ministres du 21 avril 2021 par @GabrielAttal, porte-parole du Gouvernement.https://t.co/dAf0KwknNB
— Élysée (@Elysee) April 21, 2021
Le calendrier évoqué de la fin du confinement et du couvre-feu
24 avril : certains professions en deuxième ligne peuvent obtenir des créneaux prioritaires pour la vaccination (toujours pour les plus de 55 ans).
• Les conducteurs de bus, de ferry et de navette fluviale, les livreurs, les routiers.
• Les chauffeurs taxi et VTC.
• Les contrôleurs des transports publics.
• Les agents d’entretien : agents de nettoyage, de ramassage de déchets et de centres de tri des déchets.
• Les agents de gardiennage et de sécurité.
• Les salariés des commerces d’alimentation : caissiers, employés de libre-service, vendeurs de produits alimentaires dont les bouchers, charcutiers, traiteurs, boulangers, pâtissiers (chef d’entreprise inclus).
• Les professionnels des pompes funèbres.
• Les ouvriers non qualifiés de l’industrie agroalimentaire : salariés des abattoirs et salariés des entreprises de transformation des viandes.
26 avril : retour en classe pour les écoliers
3 mai : fin des restrictions de déplacement, allégement possible du couvre-feu dans certains départements
Mi mai (13 ou 17 mai) : réouverture des commerces, des terrasses de restaurant, des cinémas, des théâtres et des musées
Aucune date fixée : les salles de sport, les discothèques
Une possible territorialisation ?
C’est du moins ce que laisse entendre Olivier Véran dans une interview accordée ce mardi au Télégramme. Le ministre de la Santé se dit « ouvert » à l’idée de lever « territoire par territoire » les mesures de freinage instaurées pour enrayer la troisième vague de l’épidémie : « Lorsqu’on envisage de lever un certain nombre de contraintes, il faut regarder la situation épidémique dans chaque territoire, la situation hospitalière et, de façon générale, le niveau de saturation des hôpitaux en France », évoque le ministre auprès du journal régional.