
Ce 10 avril, sous un généreux soleil printanier, les étals s’alignent pour la troisième semaine consécutive sur l’esplanade et une partie du parking, conséquence directe des travaux engagés place du Breuil. L’expérience n’est pas unanimement appréciée. Certains marchands notent une baisse de leur chiffre d’affaires. Un autre commerçant regrette de voir sa surface de vente réduite.
Les clients entre adaptation et pragmatisme
Du côté des chalands, les réactions sont également contrastées. « L’ambiance me plaît beaucoup ! On se croirait presque sur un marché côtier », s’enthousiasme Arlette dans les colonnes du Progrès. Naïma, habitante de Firminy Vert, relativise : « C’est plus éloigné pour moi, mais on s’adapte. Nous irons ensuite au marché alimentaire. » rapporte t’elle au Progrès. Elle repart les bras chargés de décorations florales et de vêtements.
La fracture avec le marché alimentaire en question
Une préoccupation revient fréquemment : la distance créée entre le marché non alimentaire et celui des produits frais, resté place du Breuil. Une cliente suggère : « Pour les personnes âgées notamment, la distance entre les deux marchés peut être problématique. Il aurait peut-être été préférable de déplacer également le marché alimentaire. » Cite t’elle au Progrès.