Mardi matin, Yves Nicolin est longuement revenu sur le contenu de la lettre et sur les accusations portées contre lui, notamment en lien avec le suicide de sa cheffe de cabinet, Nathalie Goutorbe. Il souligne que cette situation est exploitée à des fins politiques par certains élus, qu’il accuse de manquer de sincérité et de courage.
Selon Nicolin, les élus contestataires, parmi lesquels Philippe Perron et Catherine Dufossé, se laissent manipuler par d’autres acteurs plus expérimentés, cherchant à le faire partir avant les prochaines élections. Il exprime sa tristesse face à ce qu’il considère comme une trahison de personnes qu’il a lui-même intégrées dans son équipe, mentionnant notamment Sandra Creuzet-Taite, ancienne vice-présidente aux ressources humaines.
Le maire de Roanne déplore également la médiatisation excessive de cette affaire, qui affecte non seulement lui-même, mais aussi ses proches. Il assure cependant que cette crise a renforcé la solidarité au sein de sa majorité, bien que certains élus doivent être remplacés pour maintenir une ambiance de travail saine. Yves Nicolin reste déterminé à poursuivre son mandat, malgré les obstacles rencontrés.
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