Dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux, le Must assure qu’à « ce jour, aucune piqûre n’a été recensée au Mustclub (42) ».
Six plaintes ont été enregistrées dans cette affaire de piqûres en boîte de nuit. Le procureur de la République de Roanne, Abdelkrim Grini, la dernière victime et selon ses déclarations, se serait fait piquer au Must, les autres victimes auraient été piquées au T Dansant à Roanne.
Des rumeurs infondées selon Le Must
La discothèque Le Must a réagi dans un communiqué et parle de « rumeurs infondées » qui circulent sur les réseaux et même dans les médias. ». Pour le procureur, les boîtes de nuit n’étaient pas mises en cause dans l’enquête. Une enquête est actuellement ouverte pour administration de substances nuisibles avec préméditation et administration de violences avec préméditation.
Dans le communiqué de presse du Must, la discothèque assure avoir : « mis en place des systèmes de fouilles encore plus poussées dès l’entrée de la discothèque. Ainsi que des protections de verres pour la sécurité de nos clients. De plus, le système de vidéo surveillance est renforcé afin d’être vigilant à tout moment. » L’enquête démontre que, à ce jour, une seule des victimes qui ont déposé plainte aurait reçu une piqûre de GHB, les autres victimes n’auraient pas reçu de drogue lors de l’injection.